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Pour de diverses raisons illégales ou non, plusieurs personnes se retrouvent en milieu carcéral. À cet effet, aucune exception ni particularité n’est prise en compte. Même les femmes enceintes s’y trouvent. Ainsi, la question qui se pose ici est de savoir si celles-ci vivent dans les mêmes conditions que les autres détenus. Pour plus d’informations, consultez alors cet article.
Les conditions avant l’accouchement
Les conditions de vie des détenues enceintes peuvent ne pas sembler identiques à celles des gens ordinaires. Par ailleurs, consultez le site pour plus de précisions. En effet, avant l’accouchement, la détenue enceinte bénéficie des soins médicaux afférents qui sont délégués par le Ministère de la santé. À condition d’une organisation d’escortes pénitentiaires, la détenue peut accoucher hors de la prison, en particulier dans un centre hospitalier. Après la naissance du bébé, ce dernier sera pris en charge par sa mère incarcérée. Toutefois, aucune documentation de l’état civil ne révélera point la prison, mais plutôt le libellé de la rue et l’adresse.
Après accouchement
À cet effet, les mères détenues restent pratiquement seules avec leurs enfants. Des honoraires sont bien définis servant de moment de détente aux mères et leurs enfants. Un large couloir est réservé pour ça. Également, pour les enfants, il existe des jouets dans une petite cour. Ces mères détenues ne se plaignent pas vraiment dans la nuit, car des canapés leur sont aussi réservés dans un coin salon.
Quels sont alors les droits de cet enfant ?
Les détenues enceintes peuvent garder leur enfant avec elles en prison jusqu’à ce qu’il ait 18 mois. Une mère détenue est libre d’autoriser qui visitera son enfant. Il peut arriver à des moments où l’enfant sera en promenade hors de la prison. Là, la mère rédige par écrit un contrat en mettant l’accent sur celui avec qui sera l’enfant et où il va pendant une durée donnée.
Pour faciliter la séparation entre la mère et son enfant après les 18 mois, l’enfant peut progressivement être en accompagnement d’un proche, particulièrement de son père. C’est aussi possible que la détenue demande un recul ou prolongement de la limite de garde de l’enfant. Après séparation, cet enfant peut visiter sa mère en prison 12 mois après son départ.